Clotilde Bailly obtient sa licence d'Arts Plastiques en 2015 après 3 ans d'études à l'Université de Lorraine de Metz.
Irrésistiblement attirée par les métiers d'arts et le textile, la broderie s'impose logiquement dans son parcours et elle intègre l'École de Broderie d'Art du lycée Paul Lapie de Lunéville.
S'en suivent deux années de formation riches en apprentissages et en expériences grâce à de nombreux stages, à Londres et à Paris.
Le Brevet des Métiers d'Art (BMA), obtenu en 2017, lui permet d'être embauchée à Paris dans plusieurs ateliers de Haute-Couture et de travailler pour Chanel, Jean-Paul Gaultier ou encore Dior.
A la recherche d'une nouvelle manière d'exercer son métier, Clotilde Bailly quitte Paris en 2020 et retrouve Metz.
L'Atelier Échos naît l'année suivante, d'abord en collaboration avec une amie brodeuse, puis, depuis 2023, en solitaire.
Irrésistiblement attirée par les métiers d'arts et le textile, la broderie s'impose logiquement dans son parcours et elle intègre l'École de Broderie d'Art du lycée Paul Lapie de Lunéville.
S'en suivent deux années de formation riches en apprentissages et en expériences grâce à de nombreux stages, à Londres et à Paris.
Le Brevet des Métiers d'Art (BMA), obtenu en 2017, lui permet d'être embauchée à Paris dans plusieurs ateliers de Haute-Couture et de travailler pour Chanel, Jean-Paul Gaultier ou encore Dior.
A la recherche d'une nouvelle manière d'exercer son métier, Clotilde Bailly quitte Paris en 2020 et retrouve Metz.
L'Atelier Échos naît l'année suivante, d'abord en collaboration avec une amie brodeuse, puis, depuis 2023, en solitaire.
Depuis sa création en 2021, l’Atelier Echos est mû par une profonde admiration pour les métiers d’art et savoir-faire français mais aussi japonais.
Clotilde Bailly s’emploie à l’élaboration d’échantillons singuliers qui innovent de par leurs motifs, leurs fournitures ou leur matière même. On retrouve alors dans ses œuvres une traduction textile de techniques plus ou moins proches de la broderie : céramique, tricot, vannerie, ébénisterie…Elle souhaite créer une véritable discussion entre l’art textile - la broderie et le tissage notamment – et les autres métiers d’art.
Elle travaille également à la création de kimonos minutieusement teints, brodés et assemblés à la main ; et mélange les techniques traditionnelles (crochet de Lunéville, aiguille, perles) et contemporaines (découpe laser, matériaux créés sur-mesure).
L’eau, les minéraux, le Cosmos sont autant d’éléments qui guident sa réflexion vers l’esthétique de ces pièces d’exception.
Clotilde Bailly s’emploie à l’élaboration d’échantillons singuliers qui innovent de par leurs motifs, leurs fournitures ou leur matière même. On retrouve alors dans ses œuvres une traduction textile de techniques plus ou moins proches de la broderie : céramique, tricot, vannerie, ébénisterie…Elle souhaite créer une véritable discussion entre l’art textile - la broderie et le tissage notamment – et les autres métiers d’art.
Elle travaille également à la création de kimonos minutieusement teints, brodés et assemblés à la main ; et mélange les techniques traditionnelles (crochet de Lunéville, aiguille, perles) et contemporaines (découpe laser, matériaux créés sur-mesure).
L’eau, les minéraux, le Cosmos sont autant d’éléments qui guident sa réflexion vers l’esthétique de ces pièces d’exception.